Dans l'escalier, Boris utilisait toute la longueur des marches, se projetant d'une rampe à l'autre. À l'étage il fit rouler ses phalanges contre une porte close, entra sans attendre une réponse.
Jean Echenoz, L'équipée malaise, Paris, Les Éditions de Minuit Mdouble, 1986-1999, p. 60.