— Non… Non, je ne pense pas être de force à ce qu'on me fasse la lecture. Écouter la voix d'une autre personne a quelque chose d'épuisant étais petite, la vie en société m'épuisait. Les voix des autres… je les trouvais éreintantes. Il est vrai que je suis d'une nature sensible — facile à agacer, facile à blesser.

Patricia Wentworth, Liaisons secrètes [1936], trad. Pascale Haas, Paris, 10/18, 2016, p. 27.