Je reviens à ceci : la mort vient toujours du dehors. Oui, d'accord. Il n'y a pas de mort qui ne soit pas accidentelle. La vieillesse aussi ça vient du dehors. Tout ça, ça vient du dehors : c'est une usure des parties extérieures[1].

Élisabeth Lebovici, "Habiter Habituer" in Absalon, cellule516 zone d'art habitée, Dilecta, 2014, p. 58.

[1] Gilles Deleuze, cours sur Spinoza du 17 mars 1981, www.webdeleuze.com/php/texte.php?cle=43_groupe=Spinoza_langue=1