Dès le réveil, tous les évènements de la veille — car elle croyait encore que c'était la veille — lui étaient revenus. Le marais, le plastique rouge, la main et le bracelet — en plastique lui aussi, du misérable plastique blanc.
Monika Fagerholm, La fille américaine [2004], trad. Anna Gibson, Paris, éditions Stock, Le Livre de Poche 2007,p. 288.