Dans le parc, ici, oui, il y a un grand monument, le socle est couvert de fleurs et de bougies. Un groupe d'hommes, ils font penser à des naufragés débarquant sur une île. Mais ce qui étonne, plus encore que les statues, c'est le vide autour, ce vide qui les entoure.

Juan Mayorga, La cartographe, trad. Yves Lebeau, Besançon, Les Solitaires Intempestifs, 2012, p. 12.