Le sublime-terrible, chassé le naturel, se mue en fantastique[1].

Emmanuel Kant, Observations sur le sentiment du beau et du sublime [1992], Bibliothèque des textes philosophiques, Librairie Philosophique J.VRIN, 2008, p.26.

[1] On a coutume d'appeler romanesque le sublime ou le beau qui a dépassé la mesure commune.