Dans ses relations sur son voyage en Italie, à la date du dimanche 11 mars 1787, figure la réflexion suivante : "L'étroitesse et l'exiguïtĂ© de Pompéï sont étonnantes ; les rues manquent de largeur et les maisons de fenêtres. Les bâtiments publics, eux-mêmes, le banc proche de la porte, le temple, une villa voisine, ressemblent plus à des maquettes qu'à des édifices proprement dits !
Egon C. Corti, Vie, mort et résurrection d'Herculanum et de Pompéi [1963], trad. Henry Daussy, Paris, Petite Bibliothèque Payot, 1995, p. 214-215.