Finalement, Panza ne vit pas parmi des œuvres d'art contemporain ; il leur rend visite. Il existe des gens qui vivent avec l'art qui se fait aujourd'hui.
Donald Judd, Una Stanza per Panza, 1990, in Écrits 1963-1990, trad. Annie Perez, Paris, Daniel Lelong éditeur, 1991, p. 272.