La fumée s'élevait en volutes au-dessus du feu. Strawl y ajouta un bout de bois et regarda la flamme l'envelopper, créant un suite rapide d'images comme le ferait un projecteur de cinéma devant lequel il n'y aurait pas d'écran, une lumière crue et un noir profond et des ombres changeantes entre les deux.
Bruce Holbert, Animaux solitaires [2012], trad. Jean-Paul Gratias, Paris, Gallmeister Totem noir, 2017, p. 233.