Écroulée sur un banc des FitzJames Gardens, Victoria Jones broyait du noir. Abîmée dans ses pensées — on pourrait même aller jusqu'à parler de considérations philosophiques —, elle mesurait l'ampleur des inconvénients qu'il y avait à faire étalage de ses talents cachés sans prendre préalablement soin de choisir son moment.

Agatha Christie, Rendez-vous à Bagdad [1951], trad. Bernard Blanc, Paris, Éditions des Champs Élysées, 1996, p. 19.